Giuliano Ruggieri
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Nuit silencieuse où la blancheur de ta cuisse m'obsède et la senteur âpre de tes pieds fatigués m'excite...... Chère.... Chair de femme que, soumis, j'adore. De ton ventre j'ai tiré la vie Et, sur tes seins, j'ai abandonné mes sentiments impurs Aux soupirs tièdes de tes narines obscures. octobre, 1976Nuit d'été |